Cabinet Dentaire PERRET Mélanie

L'UFSBD partage ses convictions et ses propositions

>> Pour l’UFSBD, le mot d’ordre de notre engagement est le suivant :

«Osons la santé bucco-dentaire pour tous!» Le problème est identifié, il s’agit désormais de l’aborder de front, d’initier des solutions de bon sens en passant d’une logique de politique de soins à une logique de politique de santé, de développer les stratégies d’éducation et d’information, et de renforcer les moyens alloués aux praticiens.

Nous pensons que ces objectifs déterminants sont atteignables au moyen de plusieurs initiatives clés.

À commencer par des mesures collectives réglementaires telles que la mise en place de la taxe soda ou la baisse de la TVA sur les produits d’hygiène bucco-dentaire.

La prévention doit quant à elle investir tous les terrains, ceux où se trouvent des publics cibles prioritaires en particulier : crèches, écoles, établissements médico-sociaux, etc. selon une approche combinant proximité, régularité et pérennité.

Enfin, il nous paraît essentiel de développer la logique de personnalisation de la prise en charge, via notamment l’inscription de la visite annuelle chez le dentiste dans le parcours santé de chaque Français ou la promotion et le soutien des examens de prévention à tous les âges de la vie, en plus de ceux déjà existants.

Pour en savoir plus sur les propositions de l’UFSBD, rendez-vous sur www.ufsbd.fr

 

>> Pour la valorisation des actes de prévention :

Il y a urgence à accorder une plus grande importance à la prévention, qui reste en France le parent pauvre de la santé avec seulement 3,2 milliards d’euros qui lui sont consacrés, soit 2% des dépenses de soins contre 3% dans les autres pays de l’OCDE.

Laurent Ouazana(1) a présenté une série de 16 recommandations aux candidats à la présidentielle 2017, avec au premier rang la mise en œuvre d’une vraie politique de prévention en santé. «Plus une pathologie est prise en compte tôt, plus on augmente les chances de guérison du patient, et plus on diminue également les coûts pour la collectivité», souligne Laurent Ouazana.

Enfin, l’Institut recommande une campagne nationale de collecte de données médicales pour instaurer un radar de bonne santé et diriger certaines populations vers des examens ou analyses.

 


CI-DESSOUS DOCUMENTS UTILES A TELECHARGER :
  UFSBD page 29

  UFSBD page 28